Pouvoir ? Chantage ?
A propos du refus par un Prêtre d'admettre un enfant au baptême :
Voir dans "La Croix" :
Un Prêtre peut il refuser le Baptême à des parents qui le demandent pour leur enfant ?
Voir dans "Golias" article et nombreux commentaires
Le Sacrement de Baptême, don de Dieu ou propriété du Curé ?
Relisons le Concile :
Le saint Concile s'adresse donc avant tout aux fidèles catholiques.
Il enseigne, pourtant, en s'appuyant sur la Sainte Ecriture et la Tradition,
que cette Eglise voyageuse est nécessaire au salut.
Seul, en effet, le Christ est Médiateur et voie du salut,
lui qui se rend présent pour nous dans son Corps, qui est l'Eglise.
Enseignant expressément la nécessité de la foi et du baptême (cf. Me 16, 16; Jn 3, 5)
le Christ lui-même a du même coup affirmé la nécessité de l'Eglise,
dans laquelle on est introduit par le baptême comme par une porte.
Aussi ne pourraient-ils pas être sauvés,
ceux qui, sans ignorer que Dieu, par Jésus-Christ, a établi l'Eglise catholique comme nécessaire,
refuseraient cependant d'y entrer ou de demeurer en elle.
Lumen Gentium n°14
Disproportion !
C'est en nous recentrant sur le texte du Concile sur l'Eglise, que nous trouvons les bons éléments de réponse à la question posée par le "refus du Baptême"...
Nous l'avons vu plus haut :
L'Eglise est une oeuvre de la Trinité
L'Eglise en Jésus Christ est "Sacrement de Salut"
si bien que c'est par notre vie "en Eglise" que nous sommes sauvés.
Le numero 14 (ci-dessus) nous décrit le Baptême comme la porte qui nous introduit dans l'Eglise..
Si le Baptême est la porte d'entrée dans le Peuple de Dieu dans lequel nous sommes sauvés,
comment est il possible de refuser le Baptême à celui qui le demande ?
Savoir si la grande soeur va ou ne va pas à l'éveil de la Foi est une autre question qui a sa réalité mais quelle disproportion !
Une fois entré par la porte du Baptême, le Baptisé va cheminer : plutôt que de savoir s'il faut l'accepter ou le refuser, la vraie question n'est elle pas celle de la façon dont il va être suivi dans son cheminement de Foi : une foi aujourd'hui inchoative et peu exprimée, mais qui la grâce du Sacrement aidant comme le soutien d'une action pastorale respectueuse mais déterminée grandira sans nul doute.
Voir dans "Golias" article et nombreux commentaires
Le Sacrement de Baptême, don de Dieu ou propriété du Curé ?
Relisons le Concile :
Le saint Concile s'adresse donc avant tout aux fidèles catholiques.
Il enseigne, pourtant, en s'appuyant sur la Sainte Ecriture et la Tradition,
que cette Eglise voyageuse est nécessaire au salut.
Seul, en effet, le Christ est Médiateur et voie du salut,
lui qui se rend présent pour nous dans son Corps, qui est l'Eglise.
Enseignant expressément la nécessité de la foi et du baptême (cf. Me 16, 16; Jn 3, 5)
le Christ lui-même a du même coup affirmé la nécessité de l'Eglise,
dans laquelle on est introduit par le baptême comme par une porte.
Aussi ne pourraient-ils pas être sauvés,
ceux qui, sans ignorer que Dieu, par Jésus-Christ, a établi l'Eglise catholique comme nécessaire,
refuseraient cependant d'y entrer ou de demeurer en elle.
Lumen Gentium n°14
Disproportion !
C'est en nous recentrant sur le texte du Concile sur l'Eglise, que nous trouvons les bons éléments de réponse à la question posée par le "refus du Baptême"...
Nous l'avons vu plus haut :
L'Eglise est une oeuvre de la Trinité
L'Eglise en Jésus Christ est "Sacrement de Salut"
si bien que c'est par notre vie "en Eglise" que nous sommes sauvés.
Le numero 14 (ci-dessus) nous décrit le Baptême comme la porte qui nous introduit dans l'Eglise..
Si le Baptême est la porte d'entrée dans le Peuple de Dieu dans lequel nous sommes sauvés,
comment est il possible de refuser le Baptême à celui qui le demande ?
Savoir si la grande soeur va ou ne va pas à l'éveil de la Foi est une autre question qui a sa réalité mais quelle disproportion !
Une fois entré par la porte du Baptême, le Baptisé va cheminer : plutôt que de savoir s'il faut l'accepter ou le refuser, la vraie question n'est elle pas celle de la façon dont il va être suivi dans son cheminement de Foi : une foi aujourd'hui inchoative et peu exprimée, mais qui la grâce du Sacrement aidant comme le soutien d'une action pastorale respectueuse mais déterminée grandira sans nul doute.